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En France, LFI fait le plein de voix avec ses positions palestiniennes. Au Royaume-Uni au contraire, le Labour, principal parti de gauche, est sous pression de son électorat musulman.

Sir Keir Starmer, tête du parti, est confronté à une crise interne à la suite de son commentaire sur le conflit Israël-Gaza, perçu comme une trahison par de nombreux électeurs musulmans du parti travailliste. Il avait dit qu’Israël était dans son droit d’imposer un siège à Gaza.

La controverse a provoqué un tollé au sein de la base travailliste, entraînant de multiples courriers électroniques de protestation, des démissions et des réclamations publiques. 150 conseillers travaillistes musulmans ont écrit à Starmer, exigeant son soutien à un cessez-le-feu immédiat.

Le Times suggère que plusieurs figures importantes pourraient démissionner, notamment Sarah Owen, tête du Shadow Cabinet de la Foi et Rachel Hopkins, ministre fantôme du Cabinet Office. La direction du parti craint un effet domino.

Starmer, sous pression, a soutenu l'idée de « pauses humanitaires », potentiellement initiées par les États-Unis, mais n'a pas appuyé un cessez-le-feu complet, malgré les appels croissants de ses propres députés.

Des sources citées par le Times ont exprimé clairement leur frustration face à l'absence de soutien à un cessez-le-feu, soulignant que les commentaires de Starmer ont exacerbé le sentiment de trahison au sein de la communauté musulmane.

Le Labour est traditionnellement reconnu pour être le parti des minorités. Les juifs britanniques s’y retrouvaient d’ailleurs massivement avant l’arrivée de Corbyn en 2015.

Si l’électorat musulman représente 4% de la population britannique, il est communautarisé et peut donc envoyer plusieurs candidats dans les Assemblées.

Pour gagner les votes, les travaillistes s’appuient notamment sur les réseaux biraderis, puissants réseaux musulmans d’entraide en Asie du Sud.

En 2017, 87 % des musulmans avaient voté pour le parti travailliste. Parmi les électeurs d'origine bangladaise et pakistanaise (la grande majorité des musulmans au Royaume-Uni), le soutien était supérieur à 90 %.

En France, LFI fait le plein de voix avec ses positions palestiniennes. Au Royaume-Uni au contraire, le Labour, principal parti de gauche, est sous pression de son électorat musulman.

Sir Keir Starmer, tête du parti, est confronté à une crise interne à la suite de son commentaire sur le conflit Israël-Gaza, perçu comme une trahison par de nombreux électeurs musulmans du parti travailliste. Il avait dit qu’Israël était dans son droit d’imposer un siège à Gaza.

La controverse a provoqué un tollé au sein de la base travailliste, entraînant de multiples courriers électroniques de protestation, des démissions et des réclamations publiques. 150 conseillers travaillistes musulmans ont écrit à Starmer, exigeant son soutien à un cessez-le-feu immédiat.

Le Times suggère que plusieurs figures importantes pourraient démissionner, notamment Sarah Owen, tête du Shadow Cabinet de la Foi et Rachel Hopkins, ministre fantôme du Cabinet Office. La direction du parti craint un effet domino.

Starmer, sous pression, a soutenu l'idée de « pauses humanitaires », potentiellement initiées par les États-Unis, mais n'a pas appuyé un cessez-le-feu complet, malgré les appels croissants de ses propres députés.

Des sources citées par le Times ont exprimé clairement leur frustration face à l'absence de soutien à un cessez-le-feu, soulignant que les commentaires de Starmer ont exacerbé le sentiment de trahison au sein de la communauté musulmane.

Le Labour est traditionnellement reconnu pour être le parti des minorités. Les juifs britanniques s’y retrouvaient d’ailleurs massivement avant l’arrivée de Corbyn en 2015.

Si l’électorat musulman représente 4% de la population britannique, il est communautarisé et peut donc envoyer plusieurs candidats dans les Assemblées.

Pour gagner les votes, les travaillistes s’appuient notamment sur les réseaux biraderis, puissants réseaux musulmans d’entraide en Asie du Sud.

En 2017, 87 % des musulmans avaient voté pour le parti travailliste. Parmi les électeurs d'origine bangladaise et pakistanaise (la grande majorité des musulmans au Royaume-Uni), le soutien était supérieur à 90 %.


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