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Mot de la rédaction

Vivre ensemble : la fin désastreuse d’une lubie

Cette France blanc-beurre qui soulevait d’un même élan la coupe du monde de foot en 1998, cette France qui voulait être universelle en accueillant de prétendus miséreux par légions, puis qui voulut croire à leur assimilation, cette République qui déshabille le catholicisme qu’elle trouve trop chauvin pour mélanger dans son bonnet laïc toutes les religions, cette France et cette République du « vivre ensemble » meurent à l’épreuve des évènements.

On a sans doute oublié à quel point les tensions avec le Maghreb sur la question – entre autres – du Sahara occidental, ou avec la Turquie au moment de la crise migratoire, avaient soulevé de sérieuses défaillances de cohésion intérieure. Le conflit israélo-arabe a enfin fait éclater au grand jour ce que la gauche et le centre niaient depuis les années 1980 : les hommes sont communautaires.

Ces légions d’hommes et des femmes importées puis entassées dans des banlieues autrefois charmantes se fichent bien de vivre avec le Français. Elles ont été biberonnées avec les discours de la France repentante. L’arrivée des Russes sur le continent africain a encore accéléré la haine d’une France qui aurait torturé les peuples et qui les soumet toujours.

Les échecs politiques ne font qu’accentuer le problème. Le fait ethnique qui réunit en communauté des personnes partageant les mêmes gènes, la même religion et les mêmes symboles culturels, n’a jamais quitté la nature humaine.

Diluées dans la majorité des Français, les communautés étrangères étaient peu bruyantes. Gonflées par l’immigration massive elles s’imposent aujourd’hui à ce qu’il reste à la France de nation et, comme il était évident que cela se produise, ont aussi importé leurs criminalités et leurs conflits.

La France voulait croire au vivre ensemble. C’était nier la nature de l’homme. Les personnalités de gauche regrettent aujourd’hui cette lubie, mais c’est trop tard, il faut évacuer Versailles pour la troisième fois en cinq jours.

Mot de la rédaction

Vivre ensemble : la fin désastreuse d’une lubie

Cette France blanc-beurre qui soulevait d’un même élan la coupe du monde de foot en 1998, cette France qui voulait être universelle en accueillant de prétendus miséreux par légions, puis qui voulut croire à leur assimilation, cette République qui déshabille le catholicisme qu’elle trouve trop chauvin pour mélanger dans son bonnet laïc toutes les religions, cette France et cette République du « vivre ensemble » meurent à l’épreuve des évènements.

On a sans doute oublié à quel point les tensions avec le Maghreb sur la question – entre autres – du Sahara occidental, ou avec la Turquie au moment de la crise migratoire, avaient soulevé de sérieuses défaillances de cohésion intérieure. Le conflit israélo-arabe a enfin fait éclater au grand jour ce que la gauche et le centre niaient depuis les années 1980 : les hommes sont communautaires.

Ces légions d’hommes et des femmes importées puis entassées dans des banlieues autrefois charmantes se fichent bien de vivre avec le Français. Elles ont été biberonnées avec les discours de la France repentante. L’arrivée des Russes sur le continent africain a encore accéléré la haine d’une France qui aurait torturé les peuples et qui les soumet toujours.

Les échecs politiques ne font qu’accentuer le problème. Le fait ethnique qui réunit en communauté des personnes partageant les mêmes gènes, la même religion et les mêmes symboles culturels, n’a jamais quitté la nature humaine.

Diluées dans la majorité des Français, les communautés étrangères étaient peu bruyantes. Gonflées par l’immigration massive elles s’imposent aujourd’hui à ce qu’il reste à la France de nation et, comme il était évident que cela se produise, ont aussi importé leurs criminalités et leurs conflits.

La France voulait croire au vivre ensemble. C’était nier la nature de l’homme. Les personnalités de gauche regrettent aujourd’hui cette lubie, mais c’est trop tard, il faut évacuer Versailles pour la troisième fois en cinq jours.


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